Retrouvez Pfanner Yvonne sur Resalib : annuaire, référencement et prise de rendez-vous pour les Hypnothérapeutes
top of page

L’hypnose, une science au service de votre mieux-être

 

 

 

 

Les neurosciences nous expliquent, aujourd’hui, comment l’hypnose permet d’activer le fonctionnement de notre cerveau pour atteindre nos objectifs qui parfois résistaient à la volonté la plus tenace.

D'une part, notre cerveau ne fait pas la distinction entre ce qu’il imagine et la réalité.

Dans notre fonctionnement neuronal sous hypnose, ce sont les mêmes zones dans notre cerveau qui sont mobilisées. C’est pourquoi, l’hypnose est considérée comme un espace de transformation.

Les neurosciences montrent aujourd'hui, en effet, que l'hypnose permet d'atteindre une équivalence neuro-fonctionnelle entre l'imagerie mentale et l’exécution réelle d'une activité dans le développement d'une compétence, par exemple. L’hypnose permet de développer une compétence, mais, pour autant, ne remplace pas la nécessité d’un entrainement réel. C’est la conjonction de l’exercice d’une activité et de l’imagerie mentale qui active nos capacités de transformation.

Ceci signifie que notre cerveau est capable d'agir sur notre corps.

Imaginez le monde qui s'offre à vous !

 

D’autre part, tout l'enjeu de la transformation repose sur l'aspect émotionnel des situations vécues.

Cet aspect émotionnel peut provoquer, une forme de court-circuit cérébral, qui bloque ainsi toute évolution, malgré toute la volonté que vous mettez au service de votre objectif.

​C’est donc en intervenant sur la perception d’un événement que nous avons le pouvoir de faire évoluer notre comportement.

Pour ces deux raisons, j'ai suivi des spécialisations en neurosciences appliquées à l'hypnose et en gestion des blocages émotionnels RITMO (EMDR), que je mets au service de votre mieux-être.

                                                           
                                                                    Pourquoi est-ce important ?

Les neurosciences ont découvert que la mémoire d’un traumatisme se transmet dans l’ADN (jusqu'à au moins 3 générations) et que l'on peut stopper cette transmission.

scientist-2141259_1280.jpg
bottom of page